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30.05.2010

Le chat et la souris

Jusqu'à il n'y a pas si longtemps j'étais le chat et L. la souris. Et puis voilà que la belle s'est "casée", c'est du moins ce qu'elle dit, non sans me narguer au passage, comme pour me faire payer le mal que je lui ai infligé par ma lâcheté, petit fait que je ne réalise que maintenant. Et je souffre affreusement. Oh, à ma manière : d'une tristesse sourde, profonde, que personne ne saurait déceler de l'extérieur tant je suis bon comédien. Mais même ce jeu-là me rend las, je voudrais que tout soit simple et clair... Je voudrais t'aimer au grand jour, L..

Et que m'emportent les notes de ce morceau magnifique de Javier Navarrete intitulé Fiamma's Theme.

02.03.2010

Le dépit

Pff. Pas foutu de baiser avec L., retrouvée hier soir. Décevant : la belle se révèle, sinon frigide, du moins singulièrement coincée de ce côté-là. Quant à moi, je me sens comme un jouvenceau, que je ne suis pourtant plus. L. a bien vu que ça n'allait pas, m'a avoué au détour d'une phrase qu'en ma présence elle se découvrait maladroite, s'est inquiétée de ce que je ne veuille plus d'elle après ce nouvel échec. Je l'ai rassurée sur le moment, mais au fond, je ne sais pas. Je ne sais plus. Sur le chemin du retour, je me suis pris à rêver d'autre chose ou plus exactement d'une autre femme. Qui ne soit pas E., qui ne soit pas L.. Ailleurs, là où tout serait simple.

Pathétique.

20.02.2010

Echelle de la perversion

Ai revu hier soir un film en compagnie de E., mais pas n'importe quel film, non, un film choisi par mes soins, un film qui signifie beaucoup pour moi, un film qui me fait immédiatement songer à L., pis, un film qui illustre parfaitement l'imbroglio amoureux dans lequel je me débats actuellement. Bien sûr, le seul à pouvoir saisir l'ironie de la situation n'était autre que mézigue. S'en est suivie une jouissance éphémère, avant que la tristesse ne l'emporte.

Chaque jour je progresse. Vers l'abîme.