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16.10.2010

César, les larmes et l'autre E.

Semaine riche en émotions. Découverte d'un nouveau boulot dans lequel, contre toute attente, je réussis bien. Mais voici que point le danger : les flatteries précoces des chefs signent leurs attentes envers moi ; jolie pression à l'horizon... Un épisode pathétique, aussi : brouille avec E., parce que la belle n'a visiblement pas intégré qu'en travaillant je ne pouvais plus être à sa disposition comme auparavant. Face à ma fin de non recevoir, bouderie de sa part qui m'a fait me sentir comme un chien abandonné sur une route de campagne. Bilan : l'ayant au téléphone lors de mon habituelle pause chronométrée – entreprise privée oblige – hier, j'ai craqué et chialé comme un môme, la fatigue des jours aidant. Heureusement, ça n'a duré qu'un instant et à l'abri des regards... sauf peut-être celui de l'autre E., croisée tandis que je séchais mes larmes. Pourquoi "l'autre E." ? Parce que cette jeune collègue porte le même prénom que ma chère et tendre et que je ne peux m'empêcher de la trouver désirable depuis que je l'ai vue...

Désir vagabond et la tristesse, au fond.

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