17.09.2010
Souviens-toi
Quelle nuit ! Pleine d'une intensité secrète au contact de Bach et de Beethoven. Assez de courber l'échine, assez de rester médiocre, assez de cette petite mort que constitue mon existence jusqu'à présent. Vivre debout. Bordel, il faut que ça change, il faut que je me lève, il faut que je vive.
07:29 | Lien permanent | Commentaires (0)
Les commentaires sont fermés.