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01.02.2010

Ne pleure pas, mon enfant

Vu E., hier après-midi, à peine quelques heures après avoir quitté L.. Avec E., j'ai bandé sans problème et nous avons pris un pied monumental. A chaque fois, c'est plus tendre, aussi. Et je me sens si bien avec elle également... Hélas, E. attend désespérément que je la sauve. Cela n'est bien sûr pas pour me déplaire, car c'est gratifiant narcissiquement : me voilà intronisé ange-gardien. Mais à terme, de quel genre de relation cela augure-t-il ? Une relation où du rôle de Sauveur, je passerais probablement à celui de Persécuteur d'une pleurnicharde, ou à celui de Victime d'une revancharde. Et puis, ne l'ai-je pas si effroyablement trahie ? L. s'improvisant chiromancienne l'autre soir m'a dit que j'aurais deux femmes toute ma vie. Je ne veux pas cela. Et je ne veux pas non plus faire pleurer une enfant aux larmes déjà intarissables.

Pardon, E..

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