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01.02.2010

Le puceau sur-éduqué

Nouvelle soirée magique chez L., samedi soir. Je me sens vraiment bien avec cette fille. Et je la désire si fort ! Peut-être trop fort, car ce que je redoutais arriva : j'ai perdu mes moyens. Enfin, ce n'est pas tout à fait exact. La belle, n'étant tombée jusqu'à présent que sur des rustres, me confia sa peur d'avoir mal, ce qui m'a hélas conduit à une prudence excessive, résultat : impossible de la pénétrer. En y repensant, nous étions touchants comme deux jeunes amants, l'un et l'autre à la fois trop excités et trop craintifs pour faire l'amour véritablement. Mais ce fut malgré tout très bon... Découvrir son corps magnifique, la voir se tordre de plaisir sous les assauts de mes caresses et l'entendre ajouter, dans un aveu sublime, qu'elle n'avait jamais ressenti une telle envie pour un homme... Et ce sentiment, ce sentiment... Ce sentiment que c'est elle, la femme du rêve familier cher à Verlaine. Immédiatement, ma "raison" s'interpose : ne sois pas dupe de cette illusion amoureuse, ne t'attache pas, ne te livre pas, ne lui dis jamais je t'aime. Echanges de SMS, depuis : elle a aimé cette soirée, pense à moi, m'invite à me laisser aller totalement.

Au diable le puceau sur-éduqué et que les corps exultent, sur l'autel d'un amour naissant.

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