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02.03.2010

Le dépit

Pff. Pas foutu de baiser avec L., retrouvée hier soir. Décevant : la belle se révèle, sinon frigide, du moins singulièrement coincée de ce côté-là. Quant à moi, je me sens comme un jouvenceau, que je ne suis pourtant plus. L. a bien vu que ça n'allait pas, m'a avoué au détour d'une phrase qu'en ma présence elle se découvrait maladroite, s'est inquiétée de ce que je ne veuille plus d'elle après ce nouvel échec. Je l'ai rassurée sur le moment, mais au fond, je ne sais pas. Je ne sais plus. Sur le chemin du retour, je me suis pris à rêver d'autre chose ou plus exactement d'une autre femme. Qui ne soit pas E., qui ne soit pas L.. Ailleurs, là où tout serait simple.

Pathétique.